Un moment. Ce moment. Celui que j’ai choisi pour me lancer dans l’entreprenariat. Cette aventure délurée dont les pure players du web (oui, les pléonasmes me réjouissent) vantent les mérites à travers leur discours, qui deviennent des contenus promotionnels pour finir en formation de cette même réussite. Je me demande parfois (souvent à vrai dire) par où ont commencé ces personnes que l’on range dans la case “success stories”. Quel a été leur premier contenu étant donné que le fondement de leurs articles actuels est entièrement dédié à cette réussite. Manifestement, on a affaire à des génies qui se sont fait dès lors qu’ils avaient atteint leur majorité, subitement.
Ce que je fais là ? J’y arrive…
En tant que grande stratège du marketing (argument de vente, vous l’aurez cerné), j’ai beaucoup analysé ces success stories qui vendent (vantent ?) du rêve en ligne. Tout est passé au crible, tant dans le type de marketing (offensif ou plutôt unbound. On sort les mots qui claquent, vous vous y habituerez, on est là pour apprendre), que dans leurs comportements que l’on perçoit à travers un certain type de visuels ou de vocabulaire. Ce dernier a plutôt la côte en ce moment, d’où ma présence ici. Je vais donc me laisser vaguer à de nouvelles habitudes littéraires, en suivant des schémas qui plaisent, qui sont tendances, qui vous séduisent (on sort le grand jeu). L’écriture ayant quand même toujours fait parti ma vie (on dirait un argument tout droit sorti en réponse à la question «vous n’avez pas d’expérience» #déjàvu). Et bien si. J’ai écrit une histoire des plus rebondissantes où s’enchaînaient les péripéties les plus invraisemblables avec son lot de personnages… sur Cléopâtre… à l’âge de 8 ans. Nous allons tout de même tenter d’être plus exigeant par ici (je vous (r)assure : j’ai grandi) afin de non pas vous partager les épisodes de Panpan le lapin, mais de contenus qui, je l’espère sincèrement, vous plairont. Parce que vous comme moi, on n’est pas ici pour réchauffer des gaufres, donc je serai ravie d’avoir vos retours sur le fond du contenu (non, la forme restera la même #déso). Mais vous verrez, vous signerez pour ça… #evil. Le quota de hashtags étant amplement dépassé, passons à la suite des événements.
Que je vous donne un bref aperçu de notre épopée épistolaire ensemble.
Vous aurez l’extrême obligeance de lire des sujets qui m’intéressent grandement (il faut bien commencer par quelque chose : égoïsme first), soit des idées mettant en lumière la créativité en chacun de nous (mais non, vous ne l’avez pas perdue… enfin !), les nouveaux modes de management (sans commentaires. Enfin si, bientôt. Il me tarde…), des tips (= conseils pour les non bilingues. Oui je sais être désagréable parfois) pour être plus performant.e sur les différents plans de sa vie (Post Scriptum : je bosse dans le marketing digital, l’optimisation, le ROI… le capitalisme 6.0 en sorte), les relations sociales (oui j’en ai, je vous remercie de vous en inquiéter… On se tutoie non ?), mais aussi l’entreprenariat, le concept de la passion (utopique ? Définitivement pas. Faites moi confiance) ou encore les gaufres tient, c’est bien aussi de parler des gaufres. On me dit à l’oreillette que le quota des gaufres est dépassé également. C’est charté par ici.
On arrive à la fin. Tu as maintenant le fameux Why de Simon Sinek, le why de ma présence ici. Concernant ma petite personne, je suis contente d’être là. Je ne suis pour autant pas partisante de la course aux followers (les hashtags sont peut-être mon péché mignon… Mais je ne suis pas sûre que #déjàvu, #déso et #evil soient très SEO). Et, entre parenthèses, j’adore mettre mon grain de sel. Tu l’auras compris, mon ton est plein de sarcasme (ou de pragmatisme selon ton humeur), avec un brin d’humour (trait de personnalité subjectif, soit) saupoudré de petites pépites trouvées sur le web, la toile, l’Internet (big up mes darons) qui feront que ce que je te partage est tiré aussi de faits réels (histoires vraies, drama first…).
En quelque sorte, du digital au féminin.